ArticleL 321-1 du Code de la Consommation Est nulle de plein droit toute conversation par laquelle un intermĂ©diaire se charge ou se propose moyennant rĂ©munĂ©ration : Soit d ’examiner la situation d’un dĂ©biteur en vue de l’établissement d’un de remboursement ; Article L311-8-1 Lorsqu'un prĂȘteur ou un intermĂ©diaire de crĂ©dit propose au consommateur, sur le lieu de vente ou par un moyen de vente Ă  distance, un contrat de crĂ©dit pour financer l'achat de biens ou de prestations de services particuliers pour un montant supĂ©rieur Ă  un seuil fixĂ© par dĂ©cret, le consommateur doit disposer de la possibilitĂ© de conclure un contrat de crĂ©dit amortissable Ă  la place d'un contrat de crĂ©dit renouvelable. Article prĂ©cĂ©dent Article L311-8 Article suivant Article L311-9 DerniĂšre mise Ă  jour 4/02/2012

Articleliminaire. Modifié par Ordonnance n°2021-1734 du 22 décembre 2021 - art. 1. Pour l'application du présent code, on entend par : 1° Consommateur : toute personne

Le Quotidien du 22 juillet 2009 Bancaire CrĂ©er un lien vers ce contenu [BrĂšves] Interruption du dĂ©lai biennal de forclusion de l'article L. 311-37 du Code de la consommation par la citation en justice devant une juridiction incompĂ©tente. Lire en ligne Copier Aux termes de l'article 2246 du Code civil N° Lexbase L2534ABH, principe dĂ©sormais contenu Ă  l'article 2241 du mĂȘme code N° Lexbase L7181IA9 dans sa version antĂ©rieure Ă  la loi de rĂ©forme de la prescription en matiĂšre civile loi n° 2008-561 du 17 juin 2008 N° Lexbase L9102H3I, lire N° Lexbase N6679BGH, la citation en justice donnĂ©e mĂȘme devant un juge incompĂ©tent interrompt la prescription. Dans un arrĂȘt du 9 juillet 2009, la premiĂšre chambre civile de la Cour de cassation a rappelĂ© que ce principe s'appliquait Ă  tous les dĂ©lais pour agir et Ă  tous les cas d'incompĂ©tence Cass. civ. 1, 9 juillet 2009, n° F-P+B+I N° Lexbase A7393EIN. DĂšs lors, elle a cassĂ© l'arrĂȘt de la cour de ChambĂ©ry qui avait dĂ©clarĂ© forclose l'action d'une banque au motif que le dĂ©lai biennal de forclusion de l'article L. 311-37 du Code de la consommation N° Lexbase L6496AB9 prĂ©sente un caractĂšre prĂ©fix qui n'est susceptible ni d'interruption, ni de suspension, et que l'assignation dĂ©livrĂ©e devant une juridiction incompĂ©tente est sans incidence et n'interrompt pas le dĂ©lai de forclusion. Tel n'est donc pas l'avis de la premiĂšre chambre civile qui, reprenant la solution Ă©noncĂ©e par la Cour de cassation, rĂ©unie en Chambre mixte le 24 novembre 2006 Cass. mixte, 24 novembre 2006, n° P+B+R+I N° Lexbase A5176DSI, lire N° Lexbase N3005A98 et cf., pour la deuxiĂšme chambre civile s'alignant dĂ©jĂ  sur cette solution, Cass. civ. 2, 10 janvier 2008, n° F-P+B N° Lexbase A2684D3S et lire N° Lexbase N8347BDI, qui avait Ă©noncĂ© que les dispositions gĂ©nĂ©rales de l'article 2246 du Code civil s'applique Ă  tous les dĂ©lais pour agir et Ă  tous les cas d'incompĂ©tence, rompt avec sa jurisprudence traditionnelle qui excluait du champ d'application de ce texte les dĂ©lais de forclusion et donc celui de l'article L. 311-37 du Code de la consommation cf. Cass. civ. 1, 27 juin 2006, n° F-D N° Lexbase A1125DQQ ; cf. l’Ouvrage "Droit bancaire" N° Lexbase E9058AGL. © Reproduction interdite, sauf autorisation Ă©crite prĂ©alable newsid360038 Utilisation des cookies sur Lexbase Notre site utilise des cookies Ă  des fins statistiques, communicatives et commerciales. Vous pouvez paramĂ©trer chaque cookie de façon individuelle, accepter l'ensemble des cookies ou n'accepter que les cookies fonctionnels. En savoir plus Parcours utilisateur Lexbase, via la solution Salesforce, utilisĂ©e uniquement pour des besoins internes, peut ĂȘtre amenĂ© Ă  suivre une partie du parcours utilisateur afin d’amĂ©liorer l’expĂ©rience utilisateur et l’éventuelle relation commerciale. Il s’agit d’information uniquement dĂ©diĂ©e Ă  l’usage de Lexbase et elles ne sont communiquĂ©es Ă  aucun tiers, autre que Salesforce qui s’est engagĂ©e Ă  ne pas utiliser lesdites donnĂ©es. DonnĂ©es analytiques Nous attachons la plus grande importance au confort d'utilisation de notre site. Des informations essentielles fournies par Google Tag Manager comme le temps de lecture d'une revue, la facilitĂ© d'accĂšs aux textes de loi ou encore la robustesse de nos readers nous permettent d'amĂ©liorer quotidiennement votre expĂ©rience utilisateur. Ces donnĂ©es sont exclusivement Ă  usage interne. L 311-30 du Code de la consommation. Article L311-30. En cas de dĂ©faillance de l'emprunteur, le prĂȘteur pourra exiger le remboursement immĂ©diat du capital restant dĂ», majorĂ© des intĂ©rĂȘts Ă©chus mais non payĂ©s. Jusqu'Ă  la date du rĂšglement effectif, les sommes restant dues produisent les intĂ©rĂȘts de retard Ă  un taux Ă©gal Ă  celui L’ordonnance n°2021-1192 du 15 septembre 2021, notamment par ses articles 3 et 32 modifie tant le code civil que le Code de la consommation. Dans le Code civil elle insert un nouvel article 2297 et, par son art. 32, elle abroge dans le Code de la consommation le formalisme particulier qui y Ă©tait prescrit pour le cautionnement souscrit par une personne physique. Ainsi, Ă  compter du 1er janvier 2022, il n’existera plus de formule lĂ©gale Ă  reproduire manuscritement... Faut-il s’en satisfaire ? L’ancien article L341-2 [1] du Code de la consommation pose une exigence ad validitatem de l’apposition d’une mention manuscrite au sein du cautionnement formĂ© par acte sous seing privĂ© entre une personne physique qui se porte caution envers un crĂ©ancier professionnel. Dans le cadre de la mise en Ɠuvre de l’exigence prescrite par l’article prĂ©citĂ©, il y a eu un long glissement jurisprudentiel quant au niveau de sĂ©vĂ©ritĂ© appliquĂ© Ă  la vĂ©rification de l’exact conformitĂ© de la mention manuscrite inscrite par la caution et celle imposĂ©e par la loi. En effet, par une dĂ©cision en date du 16 mai 2012, la 1Ăšre chambre civile de la Cour de cassation [2] annulait le cautionnement dans lequel la mention manuscrite par la caution, personne physique, ne reprenait qu’approximativement la formule consacrĂ©e par le Code de la consommation. Alors que dans ce cas, il n’était pas discutĂ© le fait que la caution avait, au travers de la mention qu’elle avait manuscrite, une parfaite connaissance de l’étendue et de la durĂ©e de son engagement. A fortiori, sauf Ă  faire la dĂ©monstration de l’existence d’une erreur matĂ©rielle, la Cour de cassation annulait la garantie dĂšs lors que la formule manuscrite n’était pas strictement identique Ă  celle consacrĂ©e [3]. Ainsi, la caution qui par maladresse ou par filouterie recopiait plus ou moins fidĂšlement la formule consacrĂ©e pouvait se libĂ©rer de son engagement vis-Ă -vis du crĂ©ancier sans que soit analysĂ©e la question de savoir si cette derniĂšre avait, malgrĂ© ses errements de plume, tout de mĂȘme saisie la portĂ©e et le sens de l’engagement de cautionnement. Une telle sĂ©vĂ©ritĂ© affectait la fiabilitĂ© des cautionnements formĂ©s par acte sous seing privĂ© entre une personne physique et un crĂ©ancier professionnel. Elle permettait Ă  la caution d’échapper Ă  son engagement, du fait de ses propres errements dans le copiage de la formule consacrĂ©e et faisait peser sur le crĂ©ancier une obligation de rĂ©sultat de vĂ©rification de l’exactitude de la mention manuscrite par la caution. En outre, cette jurisprudence dĂ©naturait le but visĂ© par l’ancien article L341-2 [4] du Code de la consommation. En effet, le contenu de la formule qui y est consacrĂ© vise Ă  mettre en relief le fait que celui qui souscrit Ă  l’engagement de caution ait pris conscience de la gravitĂ© d’une telle opĂ©ration. La formule consacrĂ©e vise Ă  matĂ©rialiser l’existence d’une adhĂ©sion rĂ©elle, sĂ©rieuse et pleinement consciente. Cet objectif est renforcĂ© par l’exigence que la mention soit manuscrite et non simplement dactylographier puis soumise Ă  la signature de la caution. Autrement-dit, il s’agit de figer par la mention manuscrite le fait que la caution personne physique ait consenti Ă  l’opĂ©ration sans ĂȘtre victime d’une erreur quant Ă  la substance de l’engagement. C’est cette perception du contenu de l’ancien article L341-2 [5] du Code prĂ©citĂ© qui entraine un changement de braquet de la jurisprudence. En effet, la Cour de cassation, notamment par une dĂ©cision en date du 22 janvier 2014 [6] ne prononçait pas l’annulation du cautionnement malgrĂ© les diffĂ©rences entre la mention manuscrite par la caution et celle consacrĂ©e dĂšs lors que les modifications n’en affectaient pas le sens et la portĂ©e. Ainsi, les modifications qui rendaient dĂ©sordonnĂ© et confuse la mention en imposant son interprĂ©tation permettaient au juge de prononcer la nullitĂ© du contrat [7]. Cette position a Ă©tĂ© notamment confirmĂ©e par la solution de l’arrĂȘt de la Cour de cassation, en date du 10 janvier 2018 [8], par laquelle est sanctionnĂ©e, par la nullitĂ©, le cautionnement dont la mention manuscrite n’est pas identique Ă  la formule consacrĂ©e et en affecte lourdement le sens et la portĂ©e. En l’espĂšce, la mention manuscrite par la caution comportait de nombreuses omissions qui en altĂ©raient le sens et laissaient apprĂ©hender ses irrĂ©gularitĂ©s comme une altĂ©ration du consentement de ladite caution. La formule lĂ©galement consacrĂ©e Ă©tant posĂ©e comme la matĂ©rialisation d’une adhĂ©sion rĂ©elle, sĂ©rieuse et pleinement consciente. L’altĂ©ration, par omission de conjonctions de coordination mais, ou, et, donc, or, ni, car, du sens implique l’altĂ©ration de l’intĂ©gritĂ© du consentement justifiant ainsi l’annulation du contrat. DĂšs lors, malgrĂ© l’adoucissement de la sĂ©vĂ©ritĂ© appliquĂ©e Ă  la vĂ©rification de la libertĂ© prise dans le recopiage de la formule consacrĂ©e par l’ancien article L341-2 [9] du Code de la consommation, il est indispensable que le crĂ©ancier s’impose l’obligation de rĂ©sultat de veiller que la substance du sens et de la portĂ©e de ladite formule ne soit pas altĂ©rĂ©e au risque pour lui de perdre la garantie adjointe au remboursement de sa crĂ©ance en cas de dĂ©faillance du dĂ©biteur principal. Au regard de ses Ă©lĂ©ments jurisprudentiels de comprĂ©hension et de contexte, il est opportun de se demander si l’omission d’un terme lors de la transcription Ă  la main de la formule lĂ©gale consacrĂ©e, est de nature Ă  affecter la validitĂ© du cautionnement ? La Cour de cassation en date du 2 juin 2021 [10] devait statuer sur le bien fondĂ© de la dĂ©cision d’une Cour d’appel qui avait prononcĂ© la nullitĂ© d’un cautionnement du fait de l’omission du terme caution » lors de la retranscription manuscrite de la formule consacrĂ©e par l’ancien article L341-2 [11] du Code de la consommation. Cependant, il est nĂ©cessaire de prĂ©ciser que ladite Cour d’appel intervient Ă  la suite d’une dĂ©cision de renvoi [12] d’une prĂ©cĂ©dente dĂ©cision de la Cour de cassation en date du 3 avril 2019 [13] qui se prononçait elle-mĂȘme sur la dĂ©cision prise par la premiĂšre Cour d’appel saisie dans cette affaire. La situation est quelque peu cocasse et c’est Ă  ce titre qu’elle illustre assez bien les difficultĂ©s que pose, Ă  la Cour de cassation, la question de l’intĂ©gritĂ© de la formule prescrite Ă  l’ancien article L341-2 [14] du Code de la consommation. En effet, pour la Cour de cassation du 3 avril 2019, l’omission du terme caution » est de nature Ă  affecter le sens et la portĂ©e de la mention et justifie l’annulation du cautionnement. Alors que, sur la mĂȘme affaire, lors de sa deuxiĂšme saisine, la Cour de cassation [15] reconnait qu’il s’agit d’une erreur matĂ©rielle qui ne suffit pas Ă  elle seule Ă  provoquer l’annulation du cautionnement. L’existence de plusieurs originaux conforme Ă  l’ancien article L341-2 [16] du Code de la consommation, aidant Ă  la caractĂ©risation de l’erreur matĂ©rielle. Ainsi dans ce contentieux de l’intĂ©gritĂ© d’une formule lĂ©gale, se pose en rĂ©alitĂ© la question des critĂšres de caractĂ©risation d’une erreur de plume afin de la distinguer d’une altĂ©ration susceptible de provoquer la nullitĂ© du contrat de cautionnement. Pour rĂ©ponse, il est apportĂ© la rĂ©forme posĂ©e par l’ordonnance n°2021-1192 du 15 septembre 2021, par laquelle le LĂ©gislateur pense rĂ©gler le problĂšme avec le nouvel article 2297 du Code civil et l’abrogation dans le Code de la consommation du formalisme particulier qui y Ă©tait prescrit. A compter du 1er janvier 2022, il n’existera plus de formule lĂ©gale Ă  reproduire manuscritement. L’inspiration sera libre
 Ainsi, lors d’un contentieux de l’annulation d’un cautionnement qui porterait sur la clartĂ© de la mention manuscrite, les juges devront jauger l’intĂ©gritĂ© du consentement de la personne physique qui souscrit un cautionnement en fonction de la qualitĂ© de la formule optĂ©e. Cette derniĂšre devra permettre de cristalliser le fait que la personne physique Ă  bien conscience du sens et de la portĂ©e de son engagement, c’est-Ă -dire qu’elle [
] s’engage en qualitĂ© de caution Ă  payer au crĂ©ancier ce que lui doit le dĂ©biteur en cas de dĂ©faillance de celui-ci [
] » ; par consĂ©quent elle s’engage Ă  payer le crĂ©ancier [
] dans la limite d’un montant en principal et [le cas Ă©chĂ©ant] accessoires [
] » qui doit ĂȘtre Ă©crit en lettre et en chiffre. En tout Ă©tat de cause, on conviendra qu’il y a de nombreuse maniĂšre de dire que l’on comprend la gravitĂ© d’un engagement et la limite qu’il lui est donnĂ©. C’est Ă  ce titre que la rĂ©forme posĂ©e par l’ordonnance n°2021-1192 ne facilite pas le travail d’évaluation du juge de la conscientisation » par la personne physique de l’impact patrimonial du cautionnement. L’avantage de la formule lĂ©gale de l’article L331-1 du Code de la Consommation, c’est qu’elle posait un modĂšle de rĂ©fĂ©rence permettant de rĂ©aliser une jauge. L’absence de rĂ©fĂ©rence est susceptible de crĂ©er une distorsion voire une cacophonie des solutions rendues par le juge Ă  l’instar de ce que l’on subit dans le contentieux du contenu de la lettre d’intention. Du coup, il semble judicieux de prendre cette rĂ©forme comme une dĂ©sacralisation-dĂ©lĂ©galisation de la formule lĂ©gale de l’article L331-1 du Code de la Consommation, ce qui n’interdit pas, dans le cadre de la libertĂ© contractuelle de continuer Ă  l’utiliser. L’intĂ©rĂȘt de ladite dĂ©sacralisation-dĂ©lĂ©galisation, sera que le juge ne devrait plus ĂȘtre dĂ©chirĂ© entre une apprĂ©hension exĂ©gĂ©tique ou libre de ladite formule. Il pourra, le cas Ă©chĂ©ant, s’en remettre Ă  son pouvoir d’interprĂ©tation des clauses peu claires et peu prĂ©cises [17].
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Contrat de crĂ©dit Ă  la consommation nullitĂ©, dĂ©chĂ©ance des intĂ©rĂȘts, forclusion Le contrat de crĂ©dit Ă  la consommation est rĂ©gi par des rĂšgles strictes qui dĂ©coulent tant du droit commun du droit des contrats que de la protection particuliĂšre du droit de la consommation. Le non respect de ces rĂšgles peut entraĂźner la nullitĂ© du contrat de crĂ©dit, la dĂ©chĂ©ance des intĂ©rĂȘts ou la prescription. Le cabinet Thelys avocats s’engage pour la dĂ©fense des consommateurs avec le site I. NullitĂ© du contrat de crĂ©dit Ă  la consommation A. Les rĂšgles du droit commun du consentement Le consentement doit ĂȘtre sain, donnĂ© en connaissance de cause, et exempt de vices. – Un contrat de crĂ©dit peut ĂȘtre annulĂ© pour dĂ©faut de consentement de l’emprunteur o Maladie mentale incompatible avec l’expression d’un consentement Ă©clairĂ© CA Pau, 26 mars 2007 – Un contrat de crĂ©dit conclus sous l’emprise de la violence, physique ou morale, peut ĂȘtre annulĂ© o Mise en scĂšne de sorcellerie entrainant un climat d’épouvante TI Aulnay-sous-Bois, 15 octobre 1987 – Un contrat de crĂ©dit peut aussi ĂȘtre annulĂ© pour erreur o Un prĂȘt est consenti en laissant croire qu’il s’agit d’un crĂ©dit Ă  la consommation alors qu’il s’agit d’un contrat immobilier. La cause du contrat doit exister, elle doit ĂȘtre licite et morale. Un contrat de crĂ©dit Ă  la consommation destinĂ© Ă  financer une opĂ©ration contraire Ă  l’ordre public ou aux bonnes mƓurs pourra ĂȘtre annulĂ©. civile Le mineur ne peut contracter un crĂ©dit Ă  la consommation. Le majeur incapable – Sous tutelle la nullitĂ© est de droit Ă  partir du moment oĂč la mesure est prononcĂ©e. – Sous curatelle apprĂ©ciation in concreto du juge du fond. La cour de Cassation estime que la possibilitĂ© de s’endetter au-delĂ  de ses revenus nĂ©cessite l’assistance du curateur CASS. 1Ăšre civ., 21 novembre 1984. Cependant, cette autorisation peut ĂȘtre donnĂ© a posteriori et de maniĂšre implicite
 B. Les rĂšgles spĂ©cifiques prĂ©alable de crĂ©dit Le non respect des rĂšgles relatives Ă  l’offre prĂ©alable de crĂ©dit est sanctionnĂ©e pĂ©nalement et civilement. Les dispositions des articles L. 311-11 et suivants du code de la consommation sont d’ordre public. La sanction traditionnelle est donc la nullitĂ©. Elle est particuliĂšrement inopportune, puisque l’emprunteur doit restituer les sommes dĂ©jĂ  prĂȘtĂ©s. La dĂ©chĂ©ance des intĂ©rĂȘts lui est donc prĂ©fĂ©rĂ©e, les juges du fond ne pouvant soulever d’office la nullitĂ© sur ce fondement Civ. 1Ăšre, 15 fĂ©vrier 2000. de repentir art. L. 311-12 Code de la consommation Le consommateur-emprunteur dispose d’un dĂ©lai de 14 jours calendaire Ă  compter du lendemain du jour de l’acceptation de l’offre de crĂ©dit pour exercer son droit de rĂ©tractation. Si l’emprunteur souhaite une livraison immĂ©diate, ce dĂ©lai peut ĂȘtre rĂ©duit Ă  3 jours art. L. 311-34 Code de la consommation mais devra faire l’objet d’une mention manuscrite sur le contrat de crĂ©dit. En l’absence de mention manuscrite, le consommateur n’est pas censĂ© avoir renoncĂ© au dĂ©lai de 7 jours. Le non-respect du dĂ©lai de repentir, ou l’absence de mention manuscrite relative au raccourcissement du dĂ©lai, seront sanctionnĂ©s par la nullitĂ© Cass. 1Ăšre civ., 19 mai 1992. II. DĂ©chĂ©ance des intĂ©rĂȘts du contrat de crĂ©dit de la consommation A. PĂ©riode prĂ©contractuelle d’information art. L 311-6 Code de la consommation PrĂ©alablement Ă  la conclusion du contrat de crĂ©dit, le prĂ©teur ou l’intermĂ©diaire de crĂ©dit donne Ă  l’emprunteur, par Ă©crit ou sur un autre support durable, les informations nĂ©cessaires Ă  la comparaison de diffĂ©rentes offres et permettant Ă  l’emprunteur, compte tenu de ses prĂ©fĂ©rences, d’apprĂ©hender clairement l’étendue de son engagement ». Le contenu de la fiche d’information est dĂ©terminĂ© dans l’article R311-3 du Code de la consommation. L’absence totale ou partielle des informations prĂ©contractuelles qui doivent ĂȘtre fournies au consommateur est sanctionnĂ©e par la dĂ©chĂ©ance des intĂ©rĂȘts devoir d’information. de la solvabilitĂ© de l’emprunteur art. Code de la consommation Impose au prĂ©teur de fournir au consommateur les informations suffisantes pour que le candidat-emprunteur puisse apprĂ©cier l’adĂ©quation entre les Ă©chĂ©ances de remboursement du prĂȘt et sa solvabilitĂ© devoir d’explication. La carence du prĂ©teur dans la vĂ©rification de la solvabilitĂ© du dĂ©biteur consultation du Fichier national des incidents de remboursement, devoir d’explication des informations fournies, de mise en garde est sanctionnĂ©e par la dĂ©chĂ©ance de tout ou partie des intĂ©rĂȘts dans la proportion prĂ©vue par le juge B. PĂ©riode de formation du contrat prĂ©alable de crĂ©dit art. L. 311-11 du code de la consommation Les opĂ©rations de crĂ©dit Ă  la consommation sont conclues dans les termes d’une offre prĂ©alable. Le prĂ©teur ou intermĂ©diaire de crĂ©dit doit faire figurer sur son offre prĂ©alable de crĂ©dits certaines mentions obligatoires art. R 311-5 et art. et s. Code de la consommation. Les dispositions des articles L. 311-11 et suivants du code de la consommation sont d’ordre public. Pourtant, la dĂ©chĂ©ance du droit aux intĂ©rĂȘts est prĂ©fĂ©rĂ©e Ă  l’annulation. dĂ©tachable art. L 311-12 Code de la consommation L’offre de crĂ©dit comporte un formulaire dĂ©tachable, conforme au modĂšle annexĂ© Ă  l’art. R311-4 du Code de la consommation, permettant l’exercice par le consommateur de son droit de rĂ©tractation. L’omission de ce formulaire est sanctionnĂ©e par la dĂ©chĂ©ance du droit aux intĂ©rĂȘts. III. Dommages et intĂ©rĂȘts Il appartient au prĂȘteur ou Ă  l’organisme de crĂ©dit de rapporter la preuve de l’exercice de son obligation d’information devoir de mise en garde, d’explication, consultation du Fichier national des incidents de remboursement. Cette obligation d’information s’exerce pendant la formation du contrat de crĂ©dit mais peut aussi s’exercer pendant l’exĂ©cution. L’emprunteur peut demander des dommages et intĂ©rĂȘts en cas de faute du prĂȘteur ou de l’organisme de crĂ©dit. IV. DĂ©lais art. L. 311-52 Code la consommation A. DurĂ©e Tous les litiges concernant les opĂ©rations de crĂ©dit Ă©numĂ©rĂ©es Ă  l’article L. 311-1 du Code de la consommation sont soumise au dĂ©lai de forclusion de 2 ans. La rĂ©forme intervenue par la loi du 11 dĂ©cembre 2001 limite l’application du dĂ©lai de forclusion aux actions en paiement consĂ©cutives Ă  une dĂ©faillance de l’emprunteur. Il faut donc en conclure que toutes les actions intentĂ©es par le consommateur-emprunteur ou la caution ne relĂšve pas de ce dĂ©lai. En effet, l’action du consommateur se trouve soumise au dĂ©lai de prescription de droit commun 5 ans. B. Point de dĂ©part Le point de dĂ©part du dĂ©lai se situe Ă  la date d’exigibilitĂ© de l’obligation qui lui a donnĂ© naissance Cass. 1Ăšre civ., 9 dĂ©cembre 1986. Si l’emprunteur ne rĂ©pond pas Ă  la demande de paiement de la part du crĂ©ancier, ce jour, qui marque le premier incident de paiement non rĂ©gularisĂ©, constitue le point de dĂ©part du dĂ©lai de 2 ans. Le point de dĂ©part du dĂ©lai est donc variable en fonction de la nature du conflit. Quatre cas sont prĂ©cisĂ©s par l’article L. 311-52 du Code de la consommation. – RĂ©siliation ou terme du contrat Si le crĂ©ancier laisse passer le terme du contrat et que l’emprunteur ne paie pas, le terme marque le point de dĂ©part du dĂ©lai de 2 ans. – DĂ©faillance de l’emprunteur La point de dĂ©part est la date du premier incident non rĂ©gularisĂ© ayant entrainĂ© la dĂ©chĂ©ance du terme. Il appartient au prĂȘteur de justifier non de la derniĂšre Ă©chĂ©ance payĂ©e mais de la date du premier incident de paiement Cass. 1Ăšre civ., 22 mai 1996 – ProcĂ©dure de surendettement Le dĂ©lai de deux ans ne court qu’à compter du premier incident de paiement non rĂ©gularisĂ© intervenu aprĂšs l’adoption du plan ou aprĂšs la dĂ©cision du juge de l’exĂ©cution Cass. 1Ăšre civ., 13 fĂ©vrier 2007. – DĂ©couvert bancaire Le point de dĂ©part du dĂ©lai de forclusion est le dĂ©passement du montant autorisĂ© du dĂ©couvert aprĂšs le dĂ©lai de trois mois au bout duquel celui-ci doit ĂȘtre transformĂ© en crĂ©dit Ă  la consommation. – IrrĂ©gularitĂ© de l’offre prĂ©alable de crĂ©dit HypothĂšse non prĂ©vue par le code. Le point de dĂ©part est la date Ă  laquelle le contrat de crĂ©dit est dĂ©finitivement formĂ© Cass, 1Ăšre civ., 7 novembre 2006. consulter aussi les articles DĂ©lai de forclusion et crĂ©dit Ă  la consommation et voir Prescription biennale sur les crĂ©dits immobiliers Jurisprudence du 11 fĂ©vrier 2016

RĂ©formĂ©principalement par la Loi du 1 er juillet 2010, qui fait suite Ă  la Directive de l'Union europĂ©enne, le crĂ©dit Ă  la consommation est dĂ©fini Ă  l'article L.311-1 4° du Code de la consommation de la maniĂšre suivante : "opĂ©ration ou contrat de crĂ©dit, une opĂ©ration ou un contrat par lequel un prĂȘteur consent ou s’engage Ă  consentir Ă  l’emprunteur un crĂ©dit sous la

Les opĂ©rateurs de plateformes en ligne dont l'activitĂ© dĂ©passe un seuil de nombre de connexions dĂ©fini par dĂ©cret Ă©laborent et diffusent aux consommateurs des bonnes pratiques visant Ă  renforcer les obligations de clartĂ©, de transparence et de loyautĂ© mentionnĂ©es Ă  l'article L. 111-7. L'autoritĂ© administrative compĂ©tente peut procĂ©der Ă  des enquĂȘtes dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article L. 511-6 afin d'Ă©valuer et de comparer les pratiques des opĂ©rateurs de plateformes en ligne mentionnĂ©es au premier alinĂ©a du prĂ©sent article. Elle peut, Ă  cette fin, recueillir auprĂšs de ces opĂ©rateurs les informations utiles Ă  l'exercice de cette mission. Elle diffuse pĂ©riodiquement les rĂ©sultats de ces Ă©valuations et de ces comparaisons et rend publique la liste des plateformes en ligne qui ne respectent pas leurs obligations au titre de l'article L. 111-7.
\n\n\n \narticle l 311 1 code de la consommation
ArticleL311-1 du Code de la recherchefrançais: Les ?tablissements publics de recherche ont soit un caract?re industriel et commercial, soit un caract?re administrat Article L311-1 . 01 75 75 36 00. 01 75 75 36 00. Je suis un professionnel; Je suis un CSE; Je suis un particulier; Nos dossiers Nos modĂšles & smart docs L'incontournable pour mon entreprise Les actualitĂ©s; Être
Article L315-13 - Code de la consommation »Version à la date format JJ/MM/AAAAou du
Articleliminaire ; Replier Livre Ier : INFORMATION DES CONSOMMATEURS ET PRATIQUES COMMERCIALES (Articles L111-1 Ă  L141-2). Replier Titre Ier : INFORMATION
I. ― Les titres Ier et II et le chapitre Ier du titre V entrent en vigueur le premier jour du dixiĂšme mois suivant celui de la publication de la prĂ©sente loi. Toutefois, les articles 21 Ă  25 ainsi que le A et le 2° du B du II de l'article 13 s'appliquent, selon des modalitĂ©s fixĂ©es par dĂ©cret, Ă  compter du premier jour du deuxiĂšme mois suivant celui de la publication de la prĂ©sente loi. Les deux premiers alinĂ©as du prĂ©sent I s'appliquent aux contrats dont l'offre a Ă©tĂ© Ă©mise aprĂšs leur date d'entrĂ©e en 4 s'applique, selon des modalitĂ©s fixĂ©es par dĂ©cret, Ă  compter du premier jour du deuxiĂšme mois suivant celui de la publication de la prĂ©sente loi, sauf pour les catalogues de vente Ă  distance auxquels il ne s'applique qu'Ă  compter du premier jour du quatriĂšme mois suivant celui de cette 1er s'applique Ă  compter du premier jour du troisiĂšme trimestre civil suivant le jour de la publication de la prĂ©sente Nouvelle-CalĂ©donie, en PolynĂ©sie française et dans les Ăźles Wallis et Futuna, le A et le 2° du B du II de l'article 13 et les articles 21 Ă  25 entrent en vigueur le premier jour suivant la date de promulgation de la loi n° 2010-1249 du 22 octobre 2010 de rĂ©gulation bancaire et financiĂšre. Pour l'application du IV de l'article 38 en Nouvelle-CalĂ©donie, en PolynĂ©sie française et dans les Ăźles Wallis et Futuna, la date du 1er novembre 2009 est remplacĂ©e au premier alinĂ©a des A et B par la date du 1er juillet ― Un dĂ©cret en Conseil d'Etat fixe les conditions dans lesquelles sont applicables progressivement aux contrats de crĂ©dit renouvelables en cours Ă  la date d'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente loi les rĂšgles prĂ©vues aux sections 4 Ă  7 du chapitre Ier du titre Ier du livre III du code de la consommation dans leur rĂ©daction issue de la prĂ©sente loi. III. ― Les dispositions mentionnĂ©es aux articles L. 311-21 et L. 311-44 du code de la consommation, ainsi qu'Ă  la seconde phrase du premier alinĂ©a et au second alinĂ©a de l'article L. 311-46 du mĂȘme code s'appliquent aux autorisations de dĂ©couvert Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e en cours Ă  compter de l'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente loi. IV. ― Les dispositions du titre IV et du chapitre II du titre V de la prĂ©sente loi entrent en vigueur le premier jour du quatriĂšme mois suivant celui de la publication de la prĂ©sente loi au Journal officiel. Ces dispositions s'appliquent aux personnes pour lesquelles des informations les concernant sont inscrites, Ă  cette date, au fichier mentionnĂ© Ă  l'article L. 333-4 du code de la consommation ainsi qu'aux procĂ©dures de traitement des situations de surendettement en cours Ă  cette date, sous les exceptions qui suivent 1° Lorsque le juge a Ă©tĂ© saisi par la commission de surendettement aux fins d'homologuer des mesures recommandĂ©es par celle-ci, de statuer sur une contestation ou aux fins d'ouvrir une procĂ©dure de rĂ©tablissement personnel, l'affaire est poursuivie et jugĂ©e conformĂ©ment Ă  la loi ancienne ; 2° L'appel et le pourvoi en cassation sont formĂ©s, instruits et jugĂ©s selon les rĂšgles applicables lors du prononcĂ© de la dĂ©cision de premiĂšre instance.
ArticlesL311.15 du Code de la consommation. Lorsque l'offre prĂ©alable ne comporte aucune clause selon laquelle le prĂȘteur se rĂ©serve le droit d'agrĂ©er la personne de l'emprunteur, le contrat
Article L311-10-1 abrogĂ© Version en vigueur du 01 mai 2011 au 01 juillet 2016AbrogĂ© par Ordonnance n°2016-301 du 14 mars 2016 - art. 34 VCrĂ©ation LOI n°2010-737 du 1er juillet 2010 - art. 6Lorsque la conclusion d'une opĂ©ration mentionnĂ©e Ă  l'article L. 311-2 donne droit, ou peut donner droit, Ă  titre gratuit, immĂ©diatement ou Ă  terme, Ă  une prime en nature de produits ou biens, la valeur de cette prime ne peut ĂȘtre supĂ©rieure Ă  un seuil fixĂ© par arrĂȘtĂ© du ministre chargĂ© de l'Ă©conomie. Paprikaen poudre. Le paprika, aussi connu sous les termes de piment doux, pimentĂłn en Espagne ou fƱszerpaprika-ƑrlemĂ©ny en Hongrie est une Ă©pice en poudre de couleur rouge obtenue Ă  partir du fruit mĂ»r, sĂ©chĂ© et moulu du piment doux ou poivron ( Capsicum annuum, de la famille des Solanaceae) 1.
Article L311-9 abrogĂ© Version en vigueur du 28 juillet 2013 au 01 juillet 2016AbrogĂ© par Ordonnance n°2016-301 du 14 mars 2016 - art. 34 VModifiĂ© par LOI n°2013-672 du 26 juillet 2013 - art. 76Avant de conclure le contrat de crĂ©dit, le prĂȘteur vĂ©rifie la solvabilitĂ© de l'emprunteur Ă  partir d'un nombre suffisant d'informations, y compris des informations fournies par ce dernier Ă  la demande du prĂȘteur. Le prĂȘteur consulte le fichier prĂ©vu Ă  l'article L. 333-4, dans les conditions prĂ©vues par l'arrĂȘtĂ© mentionnĂ© Ă  l'article L. 333-5, sauf dans le cas d'une opĂ©ration mentionnĂ©e au 1 de l'article L. 511-6 ou au 1 du I de l'article L. 511-7 du code monĂ©taire et financier.
Articleliminaire ; Replier Livre Ier : INFORMATION DES CONSOMMATEURS ET PRATIQUES COMMERCIALES (Articles L111-1 Ă  L141-2). Replier Titre II : PRATIQUES
Sciences et technos Environnement Une Ă©tude de l’universitĂ© de Stockholm indique que l’eau de pluie serait impropre Ă  la consommation, quel que soit l’endroit sur la Terre. Ian Cousins, professeur Ă  l'universitĂ© de Stockholm, affirme qu'il n'y a nulle part sur Terre oĂč l'eau de pluie serait propre Ă  la consommation ». L'eau de pluie sur Terre est impropre Ă  la consommation Ă  cause de la prĂ©sence de produits chimiques toxiques dĂ©passant les seuils recommandĂ©s, selon une rĂ©cente Ă©tude menĂ©e par des Ă©quipe a Ă©tudiĂ© des donnĂ©es compilĂ©es depuis 2010 et montrĂ© que mĂȘme en Antarctique ou sur le plateau tibĂ©tain, les niveaux prĂ©sents dans l'eau de pluie sont au-dessus des recommandations proposĂ©es de l'Agence de protection de l'environnement des États-Unis EPA », risques accrusNormalement considĂ©rĂ©es comme intactes, les deux rĂ©gions ont des niveaux de PFAS per et polyfluoroalkylĂ©es 14 fois supĂ©rieurs » aux recommandations amĂ©ricaines pour l'eau potable. Plus communĂ©ment appelĂ©s les produits chimiques Ă©ternels » parce qu'ils se dĂ©sintĂšgrent de façon extrĂȘmement lente, les PFAS, initialement prĂ©sents dans les emballages, les shampoings ou encore le maquillage, se sont rĂ©pandus dans notre environnement, y compris l'eau et l'air. Une fois ingĂ©rĂ©s, les PFAS s'accumulent dans le LIRE AUSSIÀ Seillans, ces habitants qui doivent apprendre Ă  vivre sans eauSelon certaines Ă©tudes, l'exposition aux PFAS peut avoir des effets sur la fertilitĂ© et le dĂ©veloppement du foetus. Elle peut aussi mener Ă  des risques accrus d'obĂ©sitĂ© ou de certains cancers prostate, reins et testicules et Ă  une augmentation des niveaux de cholestĂ©rol. L'EPA a rĂ©cemment baissĂ© le seuil de PFAS recommandĂ©, aprĂšs avoir dĂ©couvert que ces produits chimiques pourraient avoir un impact sur la rĂ©ponse immunitaire Ă  des vaccins chez les enfants, note Ian planĂšte est contaminĂ©e de maniĂšre irrĂ©versible »Selon Ian Cousins, les PFAS sont maintenant si persistants » et omniprĂ©sents qu'ils ne disparaĂźtront jamais de la Terre. On a rendu la planĂšte inhospitaliĂšre Ă  la vie humaine en la contaminant de maniĂšre irrĂ©versible, ce qui fait que plus rien n'est propre. Et au point que ce n'est pas assez propre pour ĂȘtre sĂ»r », dit-il. Nous avons dĂ©passĂ© une limite planĂ©taire », dĂ©clare Ian Cousins, en rĂ©fĂ©rence Ă  un modĂšle permettant d'Ă©valuer la capacitĂ© de la Terre Ă  absorber l'impact de l'activitĂ© LIRE AUSSIDeux milliards de personnes ont un accĂšs difficile Ă  l'eauLe scientifique note cependant que les niveaux de PFAS dans l'organisme des ĂȘtres humains ont diminuĂ© de façon assez significative ces 20 derniĂšres annĂ©es » et que le niveau ambiant [des PFAS dans l'environnement] est restĂ© le mĂȘme ces 20 derniĂšres annĂ©es ». Ce sont les recommandations qui ont changĂ© », prĂ©cise le chercheur, en expliquant que l'on a baissĂ© le niveau de PFAS recommandĂ© des millions de fois depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000, parce qu'on en sait plus sur la toxicitĂ© de ces substances ». MalgrĂ© les dĂ©couvertes de l'Ă©tude, Ian Cousins considĂšre qu'il faut apprendre Ă  vivre avec ». Je ne suis pas trĂšs inquiet de l'exposition quotidienne dans les montagnes, les cours d'eau ou la nourriture. On ne peut pas y Ă©chapper
 on va juste devoir vivre avec. » Mais ce n'est pas une situation idĂ©ale, oĂč l'on a contaminĂ© l'environnement au point que l'exposition naturelle n'est pas vraiment sĂ»re ». Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement L’eau de pluie est impropre Ă  la consommation partout sur Terre 16 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă  la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă  la charte de modĂ©ration du Point. Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă  la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă  la charte de modĂ©ration du Point.
DéplierChapitre II : Pratiques commerciales interdites et pratiques commerciales réglementées (Articles L132-1 A à L132-28) Déplier Section 1 : Pratiques commerciales interd Enfin de contrat, si vous rachetez votre vehicule, le montant du depot de garantie vient en deduc- LA LOI ET VOUS « L'offre prealable : 1° mentionne identite des parties et, le cas echeant, des cautions ; tion de l'option d'achat finale. A noter : ce depot de garantie vous sera restitue si vous renoncez a l'achat. Vous avez toujours la pos
LamĂȘme peine est applicable au prĂȘteur qui n'a pas respectĂ© les obligations fixĂ©es Ă  l'article L. 311-21 et aux deuxiĂšme et troisiĂšme alinĂ©as de l'article L. 311-44 ou lorsque les modalitĂ©s d'utilisation du crĂ©dit fixĂ©es au premier alinĂ©a de l'article L. 311-17 et au premier alinĂ©a de l'article L. 311-17-1 n'ont pas Ă©tĂ© respectĂ©es.
Articleliminaire. Modifié par Ordonnance n°2021-1734 du 22 décembre 2021 - art. 1. Pour l'application du présent code, on entend par : 1° Consommateur : toute personne physique qui agit à des fins qui n'entrent pas dans le cadre de son activité commerciale, industrielle, artisanale, libérale ou agricole ; 2° Non-professionnel : toute
DéplierSous-section 18 : Limites maximales applicables aux résidus de pesticides présents dans ou sur les denrées alimentaires et les aliments pour animaux d'origine végéta
Lesdispositions du présent article s'appliquent également aux contrats portant sur la fourniture d'eau, de gaz ou d'électricité, y compris lorsqu'ils ne sont pas conditionnés dans
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UnarrĂȘt de la premiĂšre chambre civile de la Cour de cassation en date du 15 dĂ©cembre 2011 prĂ©cise les conditions d'application de l'article L. 311-37 du Code de la consommation (N° Lexbase : L6496AB9), dans sa rĂ©daction antĂ©rieure Ă  celle issue de la loi n° 2010-737 du 1er juillet 2010 (N° Lexbase : L6505IMU) (Cass. civ. 1, 15 ArticleL312-1. Les dispositions du prĂ©sent chapitre s'appliquent Ă  toute opĂ©ration de crĂ©dit mentionnĂ©e au 6° de l'article L. 311-1, qu'elle soit conclue Ă  titre onĂ©reux ou Ă  titre gratuit et, le cas Ă©chĂ©ant, Ă  son cautionnement, dĂšs lors que le montant total du crĂ©dit est Ă©gal ou supĂ©rieur Ă  200 euros et infĂ©rieur ou Ă©gal
ArticleL 311-4 du Code de la Consommation Toute publicitĂ© faite, reçue ou perçue en France qui, quel que soit son support, porte sur l’une des opĂ©rations de crĂ©dit visĂ©es Ă  l’article L 311-2 doit : PrĂ©ciser l’identitĂ© du prĂȘteur, la nature, l’objet et la durĂ©e de l’opĂ©ration proposĂ©e ainsi que le coĂ»t total et, s’il y a lieu, le taux effectif global mensuel et annuel
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