La solution Ă ce puzzle est constituéÚ de 6 lettres et commence par la lettre A Les solutions â pour MULTIPLICATION D UN NOMBRE PAR LUI MEME de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots CroisĂ©s pour "MULTIPLICATION D UN NOMBRE PAR LUI MEME" 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires
MultiplicationD Un Nombre Par Lui Meme. La solution Ă ce puzzle est constituéÚ de 6 lettres et commence par la lettre A. Les solutions pour MULTIPLICATION D UN NOMBRE PAR LUI MEME de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle. La multiplication de 4 par 3 donne le mĂȘme rĂ©sultat que la multiplication de 3 par 4. La multiplication est l'une des quatre opĂ©rations de l'arithmĂ©tique Ă©lĂ©mentaire avec l'addition, la soustraction et la division. Cette opĂ©ration est souvent notĂ©e avec la croix de multiplication à », mais peut aussi ĂȘtre notĂ©e par d'autres symboles par exemple le point mĂ©dian » ou par l'absence de symbole. Son rĂ©sultat s'appelle le produit, les nombres que l'on multiplie sont les facteurs. La multiplication de deux nombres a et b se dit indiffĂ©remment en français a multipliĂ© par b » ou b fois a ». La multiplication de deux nombres entiers peut ĂȘtre vue comme une addition rĂ©pĂ©tĂ©e plusieurs fois. Par exemple, 3 fois 4 » peut se voir comme la somme de trois nombres 4 ; 4 fois 3 » peut se voir comme la somme de quatre nombres 3 3 fois 4 = 4 multipliĂ© par 3 = 4 Ă 3 = 4 + 4 + 4 ; 4 fois 3 = 3 multipliĂ© par 4 = 3 Ă 4 = 3 + 3 + 3 + 3 ; avec La multiplication peut permettre de compter des Ă©lĂ©ments rangĂ©s dans un rectangle ou de calculer l'aire d'un rectangle dont on connaĂźt la longueur et la largeur. Elle permet aussi de dĂ©terminer un prix d'achat connaissant le prix unitaire et la quantitĂ© achetĂ©e. La multiplication se gĂ©nĂ©ralise Ă d'autres ensembles que les nombres classiques entiers, relatifs, rĂ©els. Par exemple, on peut multiplier des complexes entre eux, des fonctions, des matrices et mĂȘme des vecteurs par des nombres. Notations Le signe de multiplication Ă En arithmĂ©tique, la multiplication est souvent Ă©crite Ă l'aide du signe "Ă" entre les termes, c'est-Ă -dire en notation infixĂ©e. Par exemple, oralement, "trois fois le nombre deux Ă©gale six" L'introduction de ce signe est attribuĂ©e Ă William Oughtred[1]. Ce symbole est codĂ© en Unicode par U+00D7 Ă multiplication sign HTML &215; ×. En mode mathĂ©matique dans LaTeX, il s'Ă©crit \times. Il y a d'autres notations mathĂ©matiques pour la multiplication La multiplication est aussi notĂ©e par un point, en hauteur mĂ©diane ou basse 5 â 2 ou 5 . 3 En algĂšbre, une multiplication impliquant des variables est souvent Ă©crite par une simple juxtaposition xy pour x fois y ou 5x pour cinq fois x, aussi appelĂ©e multiplication implicite. Cette notation peut aussi ĂȘtre utilisĂ©e pour des quantitĂ©s qui sont entourĂ©es de parenthĂšses 52 ou 52 pour cinq fois deux. Cet usage implicite de la multiplication peut crĂ©er des ambiguĂŻtĂ©s quand la concatenation des variables correspond au nom d'une autre variable, ou quand le nom de la variable devant la parenthĂšse peut ĂȘtre confondu avec le nom d'une fonction, ou pour la dĂ©termination de l'ordre des opĂ©rations. En multiplication vectorielle, le symboles croix et point ont des sens diffĂ©rents. Le symbole croix reprĂ©sente le produit vectoriel de deux vecteurs de dimension 3, fournissant un vecteur comme rĂ©sultat, alors que le symbole point reprĂ©sente le produit scalaire de deux vecteurs de mĂȘme dimension Ă©ventuellement infinie, fournissant un scalaire. En programmation informatique, l'astĂ©risque comme dans 5*2 est la notation la plus courante. Cela est dĂ» au fait qu'historiquement les ordinateurs Ă©taient limitĂ©s Ă un petit jeu de caractĂšres comme ASCII ou EBCDIC n'ayant pas de symbole comme â ou Ă, alors que l'astĂ©risque se trouve sur tous les claviers. Cet usage trouve ses origines dans le langage de programmation FORTRAN. Multiplication dans les ensembles de nombres Multiplication dans les entiers Multiplier un entier par un autre c'est ajouter cet entier Ă lui-mĂȘme plusieurs fois. Ainsi multiplier 6 par 4 c'est calculer 6 + 6 + 6 + 6, le rĂ©sultat de 6 Ă 4 se dit 4 fois 6 comme dans 4 fois le nombre 6 ou 6 multipliĂ© par 4. On appelle le produit de 6 par 4 le rĂ©sultat de cette opĂ©ration. Dans cette multiplication, 6 est appelĂ© le multiplicande car c'est lui qui est rĂ©pĂ©tĂ© et 4 est appelĂ© le multiplicateur car il indique combien de fois 6 doit ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©. Cependant, le fait que 4 fois 6 soit Ă©gal Ă 6 fois 4, rend cette distinction peu nĂ©cessaire, et les deux nombres sont appelĂ©s facteurs du produit. Celui-ci est notĂ© 6 Ă 4 â qui se lit indiffĂ©remment quatre fois six » ou six multipliĂ© par quatre »[2] â ou 4 Ă 6. Dans les livres scolaires d'arithmĂ©tique des deux derniers siĂšcles, on lisait plutĂŽt de la seconde maniĂšre Ă l'origine. "Fois" Ă©tait ressenti comme moins prĂ©cis comme "et" pour l'addition. Il n'est pas efficace, Ă long terme, de voir la multiplication comme une addition rĂ©pĂ©tĂ©e. Il est donc nĂ©cessaire d'apprendre le rĂ©sultat de la multiplication de tous les entiers de 1 Ă 9. C'est l'objet de la table de multiplication. La multiplication dans les entiers vĂ©rifie les propriĂ©tĂ©s suivantes on peut changer l'ordre des facteurs sans changer le rĂ©sultat final a Ă b = b Ă a. On dit que la multiplication est commutative ; quand on doit multiplier trois nombres entre eux, on peut, au choix, multiplier les deux premiers et multiplier le rĂ©sultat obtenu par le troisiĂšme facteur ou bien multiplier entre eux les deux derniers puis multiplier le rĂ©sultat par le premier nombre a Ă b Ă c = a Ă b Ă c. On dit que la multiplication est associative ; quand on doit multiplier une somme ou une diffĂ©rence par un nombre, on peut, au choix, calculer d'abord la somme et multiplier le rĂ©sultat par le nombre ou bien, multiplier d'abord chaque terme de la somme par ce nombre et ensuite effectuer la somme a + b Ă c = a Ă c + b Ă c. On dit que la multiplication est distributive pour l'addition car on a distribuĂ© c aux deux termes de la somme. Les parenthĂšses indiquent l'ordre dans lequel les opĂ©rations doivent ĂȘtre effectuĂ©es. En pratique, pour Ă©viter de traĂźner trop de parenthĂšses, on utilise, par convention, la rĂšgle de prioritĂ© suivante les multiplications s'effectuent toujours avant les additions. Ainsi, dans l'Ă©criture 4 + 5 Ă 2, il faut lire 4 + 5 Ă 2, c'est-Ă -dire 4 + 10 = 14 et non 4 + 5 Ă 2 qui aurait valu 18. Cette rĂšgle s'appelle une prioritĂ© opĂ©ratoire. La derniĂšre propriĂ©tĂ© a trait aux comparaisons. Si deux nombres sont rangĂ©s dans un certain ordre et qu'on les multiplie par le mĂȘme nombre strictement positif, les rĂ©sultats seront rangĂ©s dans le mĂȘme ordre. Si a 3 Ă â4. Multiplication dans les fractions Multiplier entre elles deux fractions, c'est multiplier entre eux les numĂ©rateurs et les dĂ©nominateurs Dans l'ensemble â des nombres rationnels, la multiplication conserve les propriĂ©tĂ©s dĂ©jĂ Ă©noncĂ©es avec la mĂȘme difficultĂ© concernant l'ordre et la multiplication par un nombre nĂ©gatif. Multiplication dans les rĂ©els C'est une gĂ©nĂ©ralisation de la multiplication prĂ©cĂ©dente. Elle conserve les mĂȘmes propriĂ©tĂ©s. Inverse L'inverse d'un nombre pour la multiplication est le nombre par lequel il faut le multiplier pour obtenir 1. Par exemple l'inverse de 10 est 0,1 car 10 Ă 0,1 = 1 ; l'inverse de 2 est 0,5 car 2 Ă 0,5 = 1 ; l'inverse de 3â4 est 4â3 car 3â4 Ă 4â3 = 12â12 = 1. L'inverse du nombre a est notĂ© 1âa ou encore aâ1. Ainsi l'inverse de Ï est notĂ© 1âÏ ; l'inverse de 2 est notĂ© 1â2 = 0,5. Selon les ensembles de nombres, on ne trouve pas toujours un inverse dans l'ensemble dans l'ensemble des entiers, seuls 1 et â1 possĂšdent des inverses ; quel que soit l'ensemble de nombres vĂ©rifiant 0 â 1, 0 ne possĂšde pas d'inverse car 0 multipliĂ© par a donne toujours 0 et jamais 1 ; dans l'ensemble des rationnels et dans l'ensemble des rĂ©els, tous les nombres, sauf 0, possĂšdent un inverse. La quatriĂšme opĂ©ration des mathĂ©matiques Ă©lĂ©mentaires, la division peut alors ĂȘtre vue comme une multiplication par l'inverse. Multiple On dit qu'un nombre a est multiple d'un nombre b s'il est le rĂ©sultat de la multiplication de b par un entier naturel ou relatif a est multiple de b si et seulement s'il existe un entier relatif k tel que a = k Ă b Lorsque a et b sont des entiers, on dit aussi que a est divisible par b. Notion de corps ordonnĂ© Dans l'ensemble des nombres rationnels, et dans l'ensemble des nombres rĂ©els, on retrouve les propriĂ©tĂ©s suivantes pour la multiplication AssociativitĂ© Pour tous a, b, c, a Ăb Ă c = a Ă b Ăc CommutativitĂ© Pour tous a et b, a Ă b = b Ă a ĂlĂ©ment neutre Pour tout a, a Ă 1 = 1 Ă a = a Inverse Pour tout a non nul, il existe aâ1 tel que a Ă aâ1 =1 DistributivitĂ© Pour tous a, b, et c, a + b Ă c = a Ă c + b Ă c ĂlĂ©ment absorbant pour tout a, a Ă 0 = 0 Ă a = 0 Ordre Pour tout a > 0 et tous b et c, si b < c alors ab < ac Ces propriĂ©tĂ©s associĂ©es Ă celles que possĂšde l'addition sur ces ensembles font de â et â, munis de l'addition et de la multiplication, des ensembles spĂ©ciaux appelĂ©s des corps ordonnĂ©s. Techniques de multiplication BĂątons de Napier ExceptĂ© la multiplication Ă©gyptienne et sa variante russe qui utilisent un principe binaire, les techniques de multiplication qui se sont dĂ©veloppĂ©es au cours des siĂšcles, utilisent le systĂšme dĂ©cimal et nĂ©cessitent pour la plupart de connaitre la table de multiplication des nombres de 1 Ă 9 ainsi que le principe de distributivitĂ©. Ainsi pour multiplier 43 par 25, on Ă©crit que 43 Ă 25 = 43 Ă 2 dizaines + 5 unitĂ©s. Ensuite, on distribue les diffĂ©rents termes 43 Ă 25 = 43 Ă 2 dizaines + 43 Ă 5 unitĂ©s. 43 Ă 25 = 4 Ă 2 centaines + 3 Ă 2 dizaines + 4 Ă 5 dizaines + 3 Ă 5 unitĂ©s = 8 centaines + 6 dizaines + 20 dizaines + 15 unitĂ©s = 1 075. Les diffĂ©rentes mĂ©thodes consistent Ă prĂ©senter ce calcul de maniĂšre pratique. On trouve ainsi la mĂ©thode chinoise qui commence par les poids forts, c'est-Ă -dire la multiplication des chiffres les plus Ă gauche. Cette mĂ©thode est celle utilisĂ©e dans la multiplication avec boulier. Mais d'autres mĂ©thodes sont possibles comme celle couramment utilisĂ©e dans les Ă©coles françaises consistant Ă poser la multiplication »[3] en multipliant 43 d'abord par 5 puis par 2 dizaines et faire la somme. Multiplication posĂ©e des nombres entiers couramment utilisĂ©e dans les Ă©coles françaises D'autres techniques utilisant ce mĂȘme principe ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©es comme la multiplication par glissement utilisĂ©e au IXe siĂšcle par Al-Khawarizmi ou la multiplication par jalousies utilisĂ©e au Moyen Ăge en Europe. Cette derniĂšre a donnĂ© lieu Ă la fabrication de bĂątons automatisant le calcul les bĂątons de Napier. 8 Ă 7 = 56 car il y a 5 doigts dressĂ©s 5 dizaines et 2 et 3 doigts pliĂ©s 2 Ă 3 unitĂ©s Ces techniques nĂ©cessitent pour la plupart la connaissance des tables de multiplication. Elles furent utilisĂ©es trĂšs tĂŽt. On en trouve trace par exemple Ă Nippur en MĂ©sopotamie 2 000 ans av. sur des tablettes rĂ©servĂ©es Ă l'entraĂźnement des apprentis scribes[4]. La mĂ©morisation des tables pour des nombres compris entre 6 et 9 se rĂ©vĂšle parfois difficile. Georges Ifrah signale un moyen simple de multiplier avec les doigts des nombres compris entre 6 et 9[5]. Sur chaque main, on dresse autant de doigts que d'unitĂ©s dĂ©passant 5 pour chacun des nombres concernĂ©s. Ainsi pour multiplier 8 par 7 on dresse 3 doigts de la main gauche et deux doigts de la main droite. La somme des doigts dressĂ©s donne le nombre de dizaines et le produit des doigts repliĂ©s donne le nombre d'unitĂ©s Ă ajouter. Ainsi, dans l'exemple, il y a 5 doigts dressĂ©s donc 5 dizaines. Il y a 2 doigts pliĂ©s dans une main et 3 doigts pliĂ©s dans l'autre ce qui donne 2 Ă 3 = 6 unitĂ©s soit 7 Ă 8 = 56. L'explication mathĂ©matique fait appel encore une fois Ă la distributivitĂ© si on appelle x et y le nombre de doigts repliĂ©s, les nombres de doigts dressĂ©s sont a = 5 â x et b = 5 â y et l'on effectue la multiplication de 10 â x par 10 â y 10 â x10 â y = 1010 â x â 10 â x y = 1010 â x â 10y + xy = 10 10 â x â y + xy = 10a + b + xy. Une technique analogue existe pour multiplier entre eux des nombres compris entre 11 et 15. On ne se sert alors que des doigts dressĂ©s. Le nombre de doigts dressĂ©s donne le nombre de dizaines Ă ajouter Ă 100, et le produit des doigts dressĂ©s donne le nombre d'unitĂ©s Ă ajouter. Notations Dans les tablettes babyloniennes, il existe un idĂ©ogramme pour reprĂ©senter la multiplication A â DU[6]. Dans les Ă©lĂ©ments d'Euclide, la multiplication est vue comme le calcul d'une aire. Ainsi, pour reprĂ©senter le produit de deux nombres, on parle d'un rectangle ABCD, dans lequel les cĂŽtĂ©s AB et AD reprĂ©sentent les deux nombres. Le produit des deux nombres est alors appelĂ© le rectangle BD sous-entendu l'aire du rectangle de cĂŽtĂ©s AB et AD. Diophante, lui, n'utilise pas de symbole spĂ©cial pour la multiplication, plaçant les nombres cĂŽte Ă cĂŽte. On retrouve cette mĂȘme absence de signe dans les mathĂ©matiques indiennes, les nombres sont souvent placĂ©s cĂŽte Ă cĂŽte, parfois sĂ©parĂ©s par un point ou parfois suivis de l'abrĂ©viation bha pour bhavita, le produit[6]. En Europe, avant que le langage symbolique ne soit dĂ©finitivement admis, les opĂ©rations s'exprimaient en phrases Ă©crites en latin. Ainsi 3 fois 5 s'Ă©crivait-il 3 in 5. Au XVIe siĂšcle, on voit apparaĂźtre le symbole M utilisĂ© par Stifel et Stevin. La croix de St AndrĂ© Ă est utilisĂ©e pour dĂ©signer une multiplication par Oughtred en 1631 Clavis mathematicae. Mais on trouve Ă cette Ă©poque d'autres notations, par exemple une virgule prĂ©cĂ©dĂ©e d'un rectangle chez HĂ©rigone, 5 Ă 3 » s'Ă©crivant â 5 , 3 ». Johann Rahn lui utilise le symbole * en 1659. Le point est utilisĂ© par Gottfried Wilhelm Leibniz qui trouve la croix trop proche de la lettre x[6]. Ă la fin du XVIIe siĂšcle, il n'existe toujours pas de signe Ă©tabli pour la multiplication, Dans une lettre Ă Hermann, Leibniz prĂ©cise que la multiplication n'a pas besoin de s'exprimer seulement par des croix mais que l'on peut utiliser aussi des virgules, des points ou des espaces[7]. Ce n'est qu'au cours du XVIIIe siĂšcle que se gĂ©nĂ©ralise l'usage du point pour la multiplication dans le langage symbolique[6]. Multiplications de plusieurs facteurs entre eux Puisque la multiplication est associative, il est inutile de dĂ©finir une prioritĂ© sur les multiplications Ă effectuer. Il reste cependant Ă dĂ©finir comment Ă©crire le produit d'un nombre indĂ©terminĂ© de facteurs. signifie que l'on a multipliĂ© n fois le facteur a par lui-mĂȘme. le rĂ©sultat est notĂ© an et se lit a Ă la puissance n ». signifie que l'on a fait le produit de tous les entiers de 1 Ă n, le rĂ©sultat est notĂ© n! et se lit factorielle n ». Si est une suite de nombres, signifie que l'on a fait le produit de ces n facteurs entre eux. Ce produit est aussi notĂ© Si l'expression a un sens, la limite du produit prĂ©cĂ©dent quand n tend vers l'infini est appelĂ©e produit infini et se note Notes et rĂ©fĂ©rences â en William Oughtred, English mathematician », sur consultĂ© le 13 mai 2021. â Charles Briot, ĂlĂ©ments d'arithmĂ©tiqueâŠ, Dezobry, E. MagdĂ©leine et Cie, 1859, p. 27. â Technique de Multiplication posĂ©e des nombres entiers, [1]. â Tablettes NI 2733 ou HS 0217a dans Le calcul sexagĂ©simal en MĂ©sopotamie de Christine Proust sur culture math ou Mesopotamian mathematics, 2100-1600 BC d'Eleanor Robson p. 175. â Georges Ifrah, Histoire universelle des chiffres, La premiĂšre machine Ă calculer main - Ă©lĂ©ments de calcul digital. â a b c et d en Florian Cajori, A History of Mathematical Notations [dĂ©tail des Ă©ditions], vol. 1, paragraphes 219-234. â Michel Serfati, La rĂ©volution symbolique, p. 108. Voir aussi Multiplication dans les complexes Produit matriciel Multiplication d'un vecteur par un rĂ©el dans le calcul vectoriel en gĂ©omĂ©trie euclidienne Croix de multiplication ArithmĂ©tique et thĂ©orie des nombresUncarrĂ© parfait est un nombre obtenu en multipliant un chiffre par lui-mĂȘme. La table de multiplication de Pythagore comporte des carrĂ©s parfaits qui sont inscrits dans la diagonale : Rappels : 2 au carrĂ© s'Ă©crit 2 2 et est l'Ă©quivalentForum Futura-Sciences les forums de la science MATHEMATIQUES MathĂ©matiques du collĂšge et du lycĂ©e Multiplication i x i dans les complexes î RĂ©pondre Ă la discussion Affichage des rĂ©sultats 1 Ă 9 sur 9 02/03/2009, 19h48 1 Jack Burner Multiplication i x i dans les complexes - Bonjour Ă tous, j'ai une petite question Ă vous poser au sujet des nombres complexes. J'ai toujours interprĂ©tĂ© la multiplication comme le nombre de fois qu'un nombre doit ĂȘtre additionnĂ© Ă lui-mĂȘme ; par exemple 3 x 2 = 2 + 2 + 2 = 6 Mais lorsque l'on arrive aux nombres complexes j'ai du mal Ă appliquer ce principe avec le calcul qui suit i x i = i + i + i + i + ... + i = -1. Ou bien peut ĂȘtre que finalement cela n'est juste qu'un artifice de calcul n'ayant rien Ă voir avec le principe que j'utilise pour les l'ensemble IR. Merci par avance Fabien - 02/03/2009, 19h52 2 Re Multiplication i x i dans les complexes La multiplication par i s'interprĂšte comme une rotation d'angle droit dans le plan. Et Dieu, dans sa colĂšre, pour punir les humains, envoya sur la Terre les mathĂ©maticiens. 02/03/2009, 20h12 3 lapin savant Re Multiplication i x i dans les complexes Salut, comme te le dit God's Breath, la multiplication par s'interprĂšte gĂ©omĂ©triquement par une rotation d'angle pi/2 compose 2 fois et tu obtiens bien une rotation Ă 180 degrĂ©s, soit un changement de signe. Mais attention !! EnvoyĂ© par Jack Burner J'ai toujours interprĂ©tĂ© la multiplication comme le nombre de fois qu'un nombre doit ĂȘtre additionnĂ© Ă lui-mĂȘme Ceci n'est plus vrai dans ! Les quantitĂ©s que tu manipules sont des couples de rĂ©els leur interprĂ©tation a priori n'est plus le dĂ©nombrement mais la transformation du plan ouh, c'est vraiment dit avec les mains.... EnvoyĂ© par Jack Burner Mais lorsque l'on arrive aux nombres complexes j'ai du mal Ă appliquer ce principe avec le calcul qui suit i x i = i + i + i + i + ... + i = -1. Du coup cette reprĂ©sentation tombe Ă l'eau ! Il faut la voir comme oĂč l'on a dĂ©fini une bonne multiplication pour les doublets. "Et pourtant, elle tourne...", GalilĂ©e. 03/03/2009, 03h02 4 kaiswalayla Re Multiplication i x i dans les complexes Remarque dans , on a toujours considĂ©rĂ© qu'un carrĂ© est positif, ce n'est plus le cas forcĂ©ment dans ... Bonjour, ton interprĂ©tation de la multiplication reste valide tant que le produit obtenu par multiplication est le rĂ©sultat d'un dĂ©nombrement d'un mĂȘme nombre rĂ©pĂ©tĂ© dans une somme, quel que soit la nature de ce nombre d'ailleurs ! Ainsi est Ă©gal Ă mĂȘme si est complexe non rĂ©el; Ă©gale Ce n'est plus vrai dĂšs qu'on sort de ce type de configuration. Ainsi, mĂȘme dans l'Ă©criture ne peut ĂȘtre l'interprĂ©tation d'un nombre qu'on additionne plusieurs fois. On pourra dire mais c'est 3 fois le nombre 2,7 et 2 fois son dixiĂšme. On rĂ©torque qu'ici on ne compte pas la mĂȘme chose ou prendre un exemple plus convainquant tout en restant dans . DerniĂšre modification par kaiswalayla ; 03/03/2009 Ă 03h06. Ainsi du thĂ©orĂšme il perd sens et logique quand un mot fait dĂ©faut lui ĂŽtant sa valeur Aujourd'hui A voir en vidĂ©o sur Futura 03/03/2009, 03h33 5 kaiswalayla Re Multiplication i x i dans les complexes Mais lorsque l'on arrive aux nombres complexes j'ai du mal Ă appliquer ce principe avec le calcul qui suit i x i = i + i + i + i + ... + i = -1. On propose parfois la situation analogue suivante On dĂ©rive les deux fonctions pour tout rĂ©el . On simplifie donc et on trouve . Ainsi du thĂ©orĂšme il perd sens et logique quand un mot fait dĂ©faut lui ĂŽtant sa valeur 03/03/2009, 05h46 6 Re Multiplication i x i dans les complexes EnvoyĂ© par kaiswalayla On dĂ©rive les deux fonctions Dans la dĂ©rivation du terme de gauche, le "x" qui est sous l'accolade doit aussi ĂȘtre "dĂ©rivĂ©", ce qui donne en plus "x+x...+x" 1 fois, c'est Ă dire x, d'oĂč comme dĂ©rivĂ©e au total x+x, soit 2x. Cordialement, 04/03/2009, 07h33 7 kaiswalayla Re Multiplication i x i dans les complexes Bonjour, tu veux dire que la dĂ©rivĂ©e de est Ă l'image de la formule classique de dĂ©rivation mais lĂ tu m'as coupĂ© l'herbe sous le pied puisque le sens de ma derniĂšre intervention et je crois que tu l'as compris est de dire Ă Jack Burner que a le sens seulement si x est un entier naturel, que ça n'a pas de sens pour un nombre x non entier et que ça peut "induire" Ă des contradictions telles que celles que j'ai citĂ©es. Cela dit, c'est bien vu! 04/03/2009, 16h08 8 Re Multiplication i x i dans les complexes EnvoyĂ© par kaiswalayla tu veux dire ... Oui. mais lĂ tu m'as coupĂ© l'herbe sous le pied puisque le sens de ma derniĂšre intervention et je crois que tu l'as compris est de dire Ă Jack Burner que a le sens seulement si x est un entier naturel, que ça n'a pas de sens pour un nombre x non entier Je suis d'accord sur le fond avec ce que tu dis, en fait. et que ça peut "induire" Ă des contradictions telles que celles que j'ai citĂ©es. Des contradictions, oui. Mais pas celle-la; je voulais juste montrer qu'on pouvais "jouer" avec cette Ă©criture et retrouver le bon rĂ©sultat . Mais c'est jouer avec le feu, bien d'accord! Cordialement, 04/03/2009, 23h18 9 kaiswalayla Re Multiplication i x i dans les complexes On est d'accord, j'avais bien compris que tu taquinais, Ă bon escient, en surenchĂ©rissant ma boutade sur laquelle j'attirais l'attention de l'Ă©lĂšve qui avait posĂ© la question au dĂ©part. En tout cas merci. DerniĂšre modification par kaiswalayla ; 04/03/2009 Ă 23h22. Ainsi du thĂ©orĂšme il perd sens et logique quand un mot fait dĂ©faut lui ĂŽtant sa valeur Sur le mĂȘme sujet Discussions similaires RĂ©ponses 113 Dernier message 26/12/2010, 19h52 RĂ©ponses 11 Dernier message 01/05/2007, 12h35 RĂ©ponses 3 Dernier message 12/11/2006, 17h57 RĂ©ponses 0 Dernier message 22/08/2006, 18h16 RĂ©ponses 5 Dernier message 11/04/2006, 17h32 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 02h38.
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